lundi 30 juin 2008

Phlegmon

Aujourd'hui j'ai

dimanche 29 juin 2008

Tarte au poil

Aucun rapport (a priori) entre le titre de cet article et son contenu.


Aujourd'hui j'ai envie de vous parler des feuilles vertes (ça sent pas l'article fait à l'arrache sur le premier truc qu'on voit par la fenêtre - du tout).

Les feuilles vertes me révoltent. Certes cela n'est pas surprenant, et vous pourrez me taxer de conformisme en conspuant ces imondices chlorophyliens dans cette tribune qui m'est généreusement offerte par la société multinationale Google, cependant, il me parait important de nos jours de lever le voile sur la vérité qui se cache sous les-dites feuilles vertes.

Tout d'abord, nous sommes en dorit de nous poser la question suivante : Pourquoi les feuilles vertes sont-elles vertes ?

Alors là je m'insurge ! Cette vertitude arrogante affichée par les plantes de caractère arboricole est une insulte au bon goût et à la mémoire de nos ancètres qui moururent lors des batailles du bois de boulogne, de bois d'alcanal et du bois incoufiu, dont le but était , je le rappelle à cette jeunesse inculte qui ne saurait même pas me dire si Ghandi portait des culotes en soie ou en satin, de faire ravaler leur fierté à ces enfoirés d'arbres de mes deux en leur faisant définitivement adopter les branches qui donnent des feuilles de papier hygiénique, qui n'avait pas été inventé à l'époque, mais qu'on aurait pas eu à inventer si ces mal embûchés (j'avoue, elle est nulle) s'étaient soumis bien sagement à la race supérieure : nous. Ces batailles - que l'on a préféré éluder dans les manuels d'histoire car trop choquantes - firent en tout huit-cent quatre-ving-sept milliards de morts, soit plus que toutes les autres. Jean-Paul II ne s'en remit d'ailleurs jamais.

Or donc, je le clame ici haut et fort, prenons notre revanche sur ces sagouins de feuillus en rasant toutes les forêts du globe et en brûlant toutes les feuilles vertes en un bûcher symbolique qui assoieras définitivement la supériorité intellectuelle de l'Homme (avec une grande hache).


D'ailleurs, un fort parti de nos congénères se sont déjà lancés à corp perdu dans cette noble croisade un peu partout dans le monde. A eux : merci du fond du coeur.



De l'art d'écrire un article sans avoir d'idée.

samedi 28 juin 2008

Gunther ist sehr fröh !

A la différence des loosers de services, je n'entamerais pas ce blog en me plaignant de ma faiblesse, en disant que les blogs c'est de la merde, ou en vous spammant la gueule de "KiKoO" ou "WeLcOmE In mY wOrLd".

A la différence des autres, je ne vous souhaiterais pas la bienvenue, simplement parce que cet article sera à la fin de la liste de tous mes articles (comme si il y allait en avoir tout un tas) et que de toute façon vous n'êtes pas les bien venus.


Glüt